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À l’origine il s’agit de fêtes païennes romaines : les Lupercales. Hommage au dieu Lupercus dieu de la fécondité. Les hommes pourchassaient les femmes seules dans toute la ville afin de les fouetter sur le ventre dans le seul but de les rendre fertiles. Et ces joyeuses festivités se poursuivaient par les fêtes des Bacchanales où disons que l’alcool coulait plutôt à foison. 
Nous sommes loin du petit restaurant en amoureux avec se rose rouge. 

[ Crédit photo : L’atelier image

Oui commençons fort avec L’ELEMENT du mariage. Alors Si je vous dit robe la tradition qui vous vient de suite en tête c’est pureté. Alors ce à quoi je vous dirai le fameux non et oui.
À l’origine de cette tradition se trouve la reine Victoria et son mariage avec le prince Albert en 1840. Il faut savoir qu’à cette époque là il était de coutume de reporter sa robe de mariée. Et disons que le blanc c’est un peu compliqué de le gardé tel quel. Pour les mariages princiers la tradition était aux couleurs vives.
 Le rouge était celle que l’on préférait. c’était mal connaître la reine Victoria qui voulait casser ces codes, car fan de mode. C’est elle qui a choisi cette couleur. Par la suite au XIXème siècle cette idée a été adoptée. Des personnalités ont décidé de suivre cette idée. 

Crédit photo : Grains de click
Mais il faudra attendre la période d’après guerre avec des coûts de productions plus bas des tissus, un moment de prospérité avec une furieuse envie de vivre. Voici les trois ingrédients qui ont permis de démocratiser la robe blanche a usage unique.

 Le fait de pouvoir voir les photos des célébrités portant leur belles robes blanches comme celle de Grace Kelly a fini de répandre cette tradition.
Cependant c’est aves Victoria que la pureté est venue compléter cette tradition.

À l’origine et de manière païenne le voile n’était pas. La mariée portait une couronne de fleur dans ses cheveux. Le voile lui avait une signification de protection de la mariée du mauvais oeil. Car oui si la mariée montrait de la joie ces mauvais esprits auraient put être jaloux et donc vouloir se venger. Et ainsi cette dernière pouvait se marier sans encombres. 

Crédit photo : Mathieu Borrego

 

Cette tradition aussi trouve ses origines dans l’antiquité. Le bouquet était constitué d’herbes aromatiques avec de fortes odeurs afin d’éloigner le mauvais oeil. Il y avait aussi des herbes aphrodisiaques symbole d’amour et de romantisme afin de pousser les jeunes époux à accomplir « le devoir conjugal ». 

Par la suite pour toujours donner dans le glam et le so sexy, durant le XVIII ème siècle il était de  tradition d’utiliser les fleur d’oranger symbole de la pureté et aussi pour son doux parfum. Doux parfum qui venait masquer les odeurs de la mariée puisque l’hygiène de l’époque laissait disons à désirer. Le bouquet était là pour masquer les odeurs : CHARMANT.  

Crédit photo : Romane Begon

Par la suite le bouquet a évolué. Il était logiquement constitué par le futur mari. Au XIX ème siècle il était conservé sous cloche sur un petit coussin en velours. Le but le faire durer dans le foyer des époux. Il devient alors le signe de longévité et d’amour des époux.

Oui dans la tradition c’est le père qui prend sa fille (qui a bien évidemment dormi chez lui la veille) et qui la porte à la mairie puis à l’église. 

 

Crédit photo : Mat event production

Pour toujours rester dans l’amour dégoulinant c’est tout simplement une passation de pouvoir. La femme passe de l’autorité du père à celui de son époux. Bon tournons le de manière plus positive. Disons que c’est la princesse de son papa qu’il a protégé éduqué vu grandir et qu’il vient la confier à l’homme que cette dernière a choisi.

 

Cinquième tradition : celle des alliances 

Déjà dans l’antiquité ces petits anneaux servaient à sceller l’union des époux. Ils avaient la même symbolique que le contrat de mariage. Le métal qui le constituait était le fer et ils étaient parfois gravés.

D’autres font remonter cette tradition encore plus loin puisqu’ils parlent de l’Egypte ancienne. C’était avec joie que l’on tressait les jonc et papyrus afin d’en constituer des anneaux. 

Le soucis c’est que ces matériaux n’étaient pas disons fait pour durer dans le temps et traverser les âges. c’est pour cette raison que nous avons vu des anneaux en ivoire, d’os (so glam), ou du cuir afin de venir renforcer les anneaux. Le matériel choisi dépendait bien évidemment de la classe sociale de laquelle nous venions.

Crédit photo : Eli studio

Si l’alliance est placée à l’annulaire gauche c’est que la tradition veut que la veine veina amoris relis ce doit au coeur. La main gauche a été choisie car étant moins utilisée signifiait que vous useriez moins la bague. C’est avec le temps et son caractère de durabilité dans le temps que les matériaux ont évolués.

Sixième tradition les demoiselles d’honneur

Septième tradition celle des témoins

Huitième tradition : le lancer de … à la sortie de la seconde cérémonie.